L’élevage
Comme pour l’ensemble de l’agriculture, la société et la science attendent que l’élevage évolue pour réduire son impact sur le changement climatique, contribuer à la préservation de la biodiversité et garantir le bien-être animal.
Côté consommateur, les protéines animales, notamment la viande, occupent encore une place importante et nécessaire dans les assiettes, malgré l’évolution des messages de santé publique.
Pourtant, pour tendre vers un modèle agricole et alimentaire plus sain et plus durable, il est nécessaire de réduire la part qu’on leur accorde.
En matière d’élevage, nous pouvons identifier deux potentielles trajectoires futures : une trajectoire “business-as-usual” vers laquelle nous nous dirigeons si rien n’est fait pour infléchir la tendance et une trajectoire “agroécologique” si un élevage durable est généralisé.
La diminution du cheptel doit prioritairement concerner les productions les plus intensives, en raison de leurs multiples impacts négatifs économiques et sociaux ainsi que sur l’environnement, le bien-être animal et la santé publique. Elles se caractérisent par les élevages ayant les plus fortes densités, le plus grand nombre d’animaux et une alimentation provenant en grande partie d’importations (notamment le soja d’Amérique du Sud). Pour les ruminants et les granivores (qui se nourrissent le plus souvent de grains), ce sont aussi les élevages qui ne garantissent pas, ou insuffisamment, l’accès à l’extérieur aux animaux.
https://www.facebook.com/watch/?v=302122645232602
Le maintien d’un
élevage durable sur le territoire français est possible, en
privilégiant des systèmes autonomes pour l’alimentation des animaux, en
permettant le maintien des prairies permanentes, et en répondant aux nouvelles
attentes en matière de bien-être des animaux.
Voila 5 ans que l’entreprise « Nature Viande » a obtenu le label Biologique, reconnaissance de son travail pour favoriser la biodiversité afin de préserver les ressources naturelles et proposer un produit sain et de qualité et donner le meilleur à nos enfants grâce à un élevage naturel sans produit chimique !
A l’automne,Hervé profite de la pluie pour déchaumer certaines vieilles prairies afin d’ y cultiver le blé de l’année suivante, avant d’y remettre une nouvelle prairie.
Cette rotation des cultures, associé au travail en surface de la terre permet de ne pas casser l’ écosystème, de préserver la nature et d’ améliorer la richesse de la nourriture des animaux.
Si nous allons visiter le cheptel, nous pouvons observer des animaux heureux ayant la possibilité de rentrer s’abriter ou sortir brouter, élément primordial pour leur bien-être.
Lorsqu'on parle de "veau élevé en plein air", on fait référence à des pratiques d'élevage qui permettent aux veaux de vivre dans un environnement plus naturel et ouvert, par opposition à un élevage intensif en confinement. L'idée est de fournir aux animaux des conditions de vie plus proches de leur habitat naturel, ce qui peut avoir des avantages pour leur bien-être et potentiellement la qualité de la viande.
Voici quelques caractéristiques associées à l'élevage en plein air pour les veaux :
1. Espace libre : Les veaux ont plus d'espace pour le déplacement et les comportements naturels tels que brouter, marcher et interagir avec d'autres veaux.
2. Accès à l'extérieur : Les veaux ont généralement la possibilité de sortir à l'extérieur, où ils peuvent profiter de la lumière du jour, de l'air frais et d'une meilleure interaction avec leur environnement.
3. Alimentation naturelle : Certains systèmes d'élevage en plein air favorisent une alimentation plus naturelle, permettant aux veaux de se nourrir principalement d'herbe et de végétation, plutôt que de dépendre principalement de l'alimentation concentrée.
4. Bien-être animal : Les partisans de l'élevage en plein air soutiennent que cela peut améliorer le bien-être des animaux en réduisant le stress associé au confinement et en leur offrant des conditions de vie plus proches de leur comportement naturel.
5. Qualité de la viande : Les consommateurs estiment que la viande provenant d'animaux élevés en plein air a une meilleure qualité, en partie en raison des conditions de vie plus naturelles et des régimes alimentaires plus variés.
Cependant, il est important de noter que le terme "plein air" peut être utilisé de manière variable et que les conditions spécifiques peuvent varier d'un éleveur à l'autre. Certains labels et certifications peuvent aider les consommateurs à identifier les produits provenant d'élevages respectant certaines normes de bien-être animal et d'élevage en plein air. Si vous êtes préoccupé par ces questions, vous pouvez rechercher des informations spécifiques sur les pratiques d'élevage associées à une marque ou à un producteur particulier.
La consommation
La consommation de viande de bœuf bio est une excellente option pour ceux qui cherchent à consommer des produits issus d'une agriculture respectueuse de l'environnement et du bien-être animal. La viande de bœuf bio provient de bovins élevés selon des normes strictes, notamment en ce qui concerne l'alimentation et l'utilisation de médicaments. Cela signifie que les animaux ont eu accès à des pâturages et ont été élevés dans des conditions plus naturelles.
La famille Maury offre à ses bêtes des conditions de vie particulièrement agréable avec des prairies, des bocages, des étangs, des bosquets et des haies.
En savoir plus:
https://www.facebook.com/natureviande/videos/570779644567083?locale=fr_FR
Il est important de noter que la viande de bœuf bio peut être plus coûteuse que
la viande conventionnelle en raison des coûts supplémentaires associés à son
élevage. Cependant, beaucoup de gens considèrent que le coût supplémentaire en
vaut la peine en raison des avantages pour la santé et l'environnement.
La consommation de viande en France est en baisse régulière depuis une dizaine d'année. Pour les viandes de boucherie (bœuf, veau, agneau, porc frais et viande chevaline), les niveaux sont passés de 58 g/j/personne en 2007, à 57 g en 2010, à 52 g en 2013 puis à 46 g en 2016, ce qui porte actuellement la consommation moyenne hebdomadaire à 320 g.
Ce phénomène
s'inscrit dans une diminution régulière de la consommation des produits frais
au profit des produits très transformés (plats composés, sandwichs,
pizzas-quiches et tartes salées).
Cette consommation hebdomadaire moyenne de 320 g en 2016 correspond à 2
à 3 consommations de viande par semaine.
Depuis 2015, l’organisation onusienne recommande une consommation hebdomadaire maximum de 500 grammes de viande rouge et de 150 grammes de charcuterie.
Selon la dernière étude de l'Anses(agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) de 2017, les Français ont une consommation moyenne hebdomadaire de viande rouge proche des recommandations, mais celle de la charcuterie atteint les 200 g par semaine. Si la consommation de viande rouge baisse globalement, celles de charcuterie ou de viande transformée augmentent.
PORTRAITS d’une famille de producteurs locaux
Etienne
Dans l'entreprise familiale Nature Viande depuis 10 ans !
Ce qu'il préfère dans son métier : la mise à l'herbe au printemps avec des vaches heureuses, un parfum dans l'air.
Mais aussi découper une belle viande tendre et persillée !
Hervé
Chez Nature Viande depuis le commencement !
Ce qu'il préfère dans son métier : Sa vie au milieu des vaches et quelques livraisons qui lui font chaud au cœur, surtout quand on lui dit que la viande de Nature Viande est trop bonne !😊
La pièce de viande qu'il préfère : La basse côte.
L’ÉQUIPE NATURE VIANDE
Une équipe soudée et heureuse de travailler ensemble !
Nature Viande
15 Bis rue Jacques le Lorrain, Bergerac
Distributeur 7j/ 7 et 24h/24 devant Jardiland, Bergerac
06 32 28 33 28
contact@natureviande.fr
natureviande.fr